Il paraît que

En écho aux bouleversements écologiques et aux immenses défis qui viennent avec, se fait entendre le chant d’un clown pour ceux et celles qui n’ont pas de voix, ses aboiements contre le refus d’abandonner, sa jongle contre l’impuissance d’agir..

Quoi de plus subversif que d’oser regarder l’état du monde, se laisser traverser par nos émotions, et continuer à se battre avec douceur et ferveur ?

« Il parait que » est un solo aigre doux abordé avec finesse par Florent Lestage, accompagné du regard clownesque de Barbara Gay. Il s’agit d’une forme légère techniquement, écologique (création et tournée en train, et massues en plastique de seconde main au programme), qui souhaite emmener par le rire de la souplesse dans une situation écologique potentiellement anxiogène. Le tout penser pour allier lucidité et ludicité.